Un père encourageant sa fille

Jim Caldwell, l’ancien entraîneur-chef des Detroit Lions, avait une fille qui jouait au sport universitaire il y a quelques années. Pour l’encourager, il lui écrivait des notes avec de courts versets bibliques. Parfois, il y joignait aussi de l’argent. Il espérait qu’elle jetterait au moins un coup d’œil à la note avant de passer à l’argent. Lorsqu’il est allé lui rendre visite, il a remarqué que certains des versets bibliques qu’il avait envoyés étaient affichés sur ses chaussures de sport. Mieux encore, lorsqu’il est allé dans son appartement, il a vu chaque note qu’il avait envoyée sur la porte de sa chambre.

Quand nos filles traversent une journée difficile, elles pourront toujours se tourner vers nos paroles encourageantes. Une lettre de ma part à ma fille est spéciale et durable. Elle n’a pas besoin d’être longue. Peu importe sa longueur, c’est quelque chose qu’elle peut garder et chérir. Quand nos filles traversent une journée difficile, elles pourront toujours se tourner vers nos paroles encourageantes. Pour vous aider à commencer, voici 10 choses à écrire dans une lettre à votre fille (et gardez une copie pour vous) :

1. « Je t’aime du fond de mon cœur. »

Les expressions constantes d’amour ne peuvent pas être exagérées. Plus les parents le disent, plus cela est apprécié. Elle est moins susceptible de chercher l’amour « dans tous les mauvais endroits » quand elle est sûre que son père est fou d’elle.

2. « Je crois en toi. »

Pas seulement « Je crois en toi », mais « Voici pourquoi ».

3. « Je te trouve belle. »

Encore une fois, il s’agit d’une confiance fondamentale en qui elle est : belle à la fois à l’intérieur et à l’extérieur. Tout comme sa mère, elle sera vraiment aussi belle que vous dites qu’elle l’est.

4. « Tu me rends fier de bien des façons. »

Dites-lui à quel point elle compte pour vous.

5. « Je veux que tu saches ce que sont mes trésors. »

Partagez vos valeurs fondamentales avec votre fille. Enseigner aux enfants avec nos cœurs demande un effort supplémentaire. « Je ne suis pas sûr de t’avoir déjà dit cela, mais je ne me suis jamais beaucoup soucié de l’argent. Je chéris ma famille. J’aime ta mère. Toi et ton frère valez plus pour moi que tout. Ma foi en Dieu est le fondement même sur lequel je me tiens, et faire partie d’une communauté de foi a fait toute la différence pour cette famille. Tu ne le réalises peut-être pas, mais j’ai renoncé à une énorme promotion quand tu étais petite pour que nous puissions rester dans cette communauté où nous sommes aimés et où tu as des amis… »

6. « Laisse-moi te raconter le jour de ta naissance. »

Vous pouvez être ou non un écrivain, mais vous pouvez partager certaines des émotions que vous avez ressenties ce jour-là.

7. « Ne te contente jamais de moins que le meilleur. »

Vous lui avez enseigné cela tout au long, mais précisez-le également dans cette lettre. Les parents veulent le meilleur pour leurs enfants, mais il est temps qu’elle s’approprie cette valeur.

Expliquez pourquoi : elle a été créée dans l’amour et avec un but. Elle a été créée pour vivre et aimer à pleine capacité. Cela nécessite le meilleur.

8. « Parfois, mon amour me fait peur. »

Soyez honnête sur la façon dont votre amour pour elle vous rend prudent. Dites-lui que les prétendants potentiels devront passer l’inspection, non pas parce que vous ne lui faites pas confiance, mais parce que vous l’aimez. Dites-lui qu’elle devra vous appeler et vous envoyer des messages quand elle est hors de la maison parce que vous souffrez simplement quand vous ne pouvez pas lui prendre la main. Dites-lui que vous avez besoin qu’elle vous rassure parfois. Permettez-vous d’être vulnérable.

9. « Tu peux toujours venir me voir, quoi qu’il arrive, et je t’aiderai à trouver des solutions. »

Élever des enfants ou des adolescents, de toute façon, il est important que votre fille comprenne que rien ne l’empêchera jamais de vous aimer. Assurez-vous qu’elle sache que même si elle est en difficulté, elle peut vous parler et que vous êtes prêt à l’aider à élaborer un plan. Dites-lui que vous prendrez toujours ses appels et que vous l’écouterez quand elle aura besoin de parler.

10. « Maintenant, je veux que tu écoutes mon cœur. »

Seul vous savez quoi écrire ici. Mais assurez-vous de partager du fond de votre cœur. Si vous êtes un homme de foi, dites-lui ce que cela signifie pour vous. Si vous avez une histoire émouvante sur votre relation avec vos propres parents, offrez-la ici. Si vous êtes poète, écrivez quelques vers. Avez-vous une chanson qui exprime quelque chose de votre âme, citez-la ici. C’est le moment de l’authenticité.

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Ma famille et moi étions au Magic Kingdom de Disney, regardant le défilé et passant un bon moment. Lorsque le défilé s’est terminé, nous avons commencé à nous diriger vers l’attraction de Winnie l’Ourson – la préférée de ma fille. Alors que nous nous frayions un chemin à travers la foule intense, mon fils a paniqué, disant qu’il ne voulait pas faire l’attraction de Winnie l’Ourson. Nous avons essayé de le convaincre, mais plus nous parlions, plus il devenait bouleversé. Finalement, nous nous sommes frustrés car nous venions de faire plusieurs de ses attractions préférées et nous avions l’impression qu’il était égoïste envers sa sœur. Je l’ai regardé pour le réprimander et je l’ai vu regarder anxieusement la foule tout autour de lui et la foule encore plus intense sur notre chemin. À ce moment-là, j’ai réalisé que les foules créent une anxiété accrue chez mon fils. J’ai dit à ma femme et nous avons trouvé un espace ouvert pour nous asseoir pendant une minute. Lorsque la foule s’est un peu dissipée, nous sommes allés à l’attraction de Winnie l’Ourson sans incident.

Le monde semble dangereux pour les enfants. Souvent, ils agissent, ce qui peut sembler égoïste ou avoir une mauvaise attitude. Cependant, ils peuvent également réagir en raison d’une anxiété profonde. Une fois que vous connaissez la cause d’un problème, vous pouvez y remédier. Voici 10 façons de réduire l’anxiété chez les enfants.

1. Connaître les signes

Selon les médecins, les troubles anxieux sont la maladie mentale la plus courante aux États-Unis. Les symptômes comprennent un cœur qui bat rapidement ou qui bat fort, une sensation de lourdeur dans la poitrine, des difficultés à respirer, des tremblements corporels et des mains moites.

2. Connaître la définition

Webster définit l’anxiété comme « un sentiment anormal et accablant d’appréhension et de peur souvent marqué par des signes physiologiques ». L’anxiété survient occasionnellement chez tous les enfants. « Il y a un monstre sous mon lit. » « J’ai peur de passer mon test de mathématiques. » etc. sont tous parfaitement normaux. Mais si votre enfant a constamment peur de tout, prenez note.

3. Chercher des réponses

Lorsque l’anxiété de votre enfant commence à dicter son comportement, il est temps de consulter votre médecin. Dans certains cas, l’anxiété peut conduire à la dépression. Recherchez les signes d’avertissement et agissez en conséquence lorsque cela est nécessaire.

4. Ne pas tout contrôler

Contrôler chaque détail des activités de votre enfant peut créer de l’anxiété. S’il semble marcher sur des œufs en votre présence, vous êtes trop contrôlant. Un parent doit permettre une certaine autonomie et indépendance.

5. Réduire les conflits familiaux

Des études montrent que les enfants qui entendent régulièrement leurs parents se disputer et se battre peuvent développer des niveaux élevés d’anxiété. Ce qui pourrait être un désaccord anodin peut sembler être la fin du monde pour de jeunes oreilles. Faites attention à ce qui est dit et à la manière dont cela est dit lorsque vos enfants sont présents.

6. Réagir calmement

Lorsque votre fils ou votre fille vient vers vous trop excité ou bouleversé, réagissez de manière calme. Réagir avec une préoccupation excessive ou de la colère ne fera qu’augmenter le stress. Gardez votre calme et apaisez la tension.

7. Fixer des limites claires

Comme indiqué précédemment, les parents peuvent être trop contrôlants. Cependant, ils peuvent aussi être trop permissifs. Si un parent ne fait aucun effort pour contrôler, cela entraînera confusion et stress. Fixez des limites claires et des règles familiales pour les attentes en matière de comportement.

8. Fournir de la sécurité

Les enfants ont besoin de sécurité. Fournissez-la.

9. Soyez fort

Il est important de limiter les signes de votre propre anxiété et inquiétudes. Vos enfants le remarqueront et seront également stressés. Parlez de vos problèmes en privé avec votre conjoint. En même temps, il est acceptable de partager occasionnellement une préoccupation avec vos enfants et de leur demander de prier pour vous. Montrez-leur comment gérer correctement l’anxiété.

10. Mettez l’accent sur la foi

De nombreuses études ont montré que la foi et la prière réduisent considérablement les niveaux d’anxiété. Savoir que Dieu est toujours aux commandes soulage beaucoup de poids pour une famille. Chaque fois que quelqu’un est paniqué par quelque chose, encouragez-la à prier à ce sujet.

Un enfant qui agit peut le faire par égoïsme ou par une mauvaise attitude. Ou cela peut être une anxiété profonde. Une fois que vous connaissez la cause d’un problème, vous pouvez y remédier.

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« Arrête ça ! » J’ai crié. « Combien de fois dois-je te le dire ?! J’ai dit trois fois d’arrêter d’embêter ta sœur ! » Mon fils a commencé à pleurer pendant que je continuais, « J’en ai marre que tu m’ignores quand je te dis de faire quelque chose ! Tu ne penses qu’à ce que tu fais ! Tu ne penses à personne, sauf à toi-même ! Ça me frustre tellement ! » C’est alors qu’il a sangloté bruyamment. Rien ne me fait sentir plus mal en tant que parent que de crier sur mes enfants. Alors que le remords s’installait, il devenait difficile d’écouter ses pleurs, alors je l’ai envoyé dans sa chambre. Et le prix du meilleur père revient à ? Pas à moi.

Cela a pris trop de temps, mais je suis finalement entré dans sa chambre et je me suis excusé d’avoir élevé la voix et pour certaines des choses que j’ai dites. Il s’est tourné vers moi dans un moment de clarté totale, une seule larme roulant sur sa joue, et a dit : « Quand tu cries sur moi, j’ai l’impression que tu ne m’aimes plus. » C’était révélateur et amèrement convaincant. Voici 5 choses que vos enfants aimeraient que vous sachiez à propos de vos cris.

1. Cela les fait se sentir non aimés.

Quand nous hurlons, nos enfants ont l’impression d’avoir perdu notre amour. C’était le plus difficile à accepter pour moi. Quand nous hurlons, nos enfants ont l’impression d’avoir perdu notre amour. Le fait que les enfants se sentent et sachent qu’ils sont aimés est important pour leur développement. Si et quand vous perdez le contrôle, assurez-vous de le suivre avec beaucoup d’affection et de paroles d’affirmation.

2. Cela les fait se sentir stupides.

Ils essaient d’apprendre, mais il leur est difficile de comprendre et quand nous hurlons, cela les fait se sentir stupides. Ils n’ont pas la capacité de raisonnement pour savoir comment leurs actions affectent les autres. Cela prend beaucoup de temps pour apprendre. Lorsque nous sommes incohérents en tant que parents, cela rend les choses encore plus difficiles. Pendant les années de la petite enfance, en particulier, vous êtes leur conscience. Dans les années entre la petite enfance et dix ans, ils ont une meilleure compréhension mais ont encore besoin de renforcement. S’ils ont été maltraités, physiquement ou émotionnellement, leur croissance dans ce domaine sera entravée.

3. Cela les fait se taire.

Chaque fois qu’ils désobéissent ou sortent du cadre, c’est une occasion de renforcer calmement ce qui est juste. Vous pouvez renforcer davantage leur conscience. Cependant, quand ils se font crier dessus, cela les fait se taire. Il leur est plus difficile d’écouter et de comprendre ce qu’ils ont fait de mal. Ils sont trop occupés à avoir peur, ce qui m’amène au point suivant.

4. C’est effrayant.

Pensez à votre taille par rapport à la leur. Pour eux, c’est comme regarder un géant en colère avec le pouvoir d’infliger beaucoup de dégâts. Plus vous criez fort et êtes animé, plus vous êtes menaçant.

5. Ils ne cherchent pas à vous contrarier.

Il est difficile pour leur cerveau de penser à autre chose qu’au moment présent et à ce qu’ils ressentent. Ils préféreraient ne pas vous contrarier, ils sont simplement absorbés par leur propre monde. C’est notre travail de les éduquer à penser au monde dans lequel ils ne sont pas le centre. En y réfléchissant, j’ai encore besoin de croître dans ce domaine.